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Mémoire de jeunesse

Journal

LE DEFUNT BOUAZZA GRAVE DANS NOS MEMOIRES

En ce premier jour du mois sacré de Ramadan, nous nous inclinons devant la mémoire du défunt BOUAZZA, le boquiniste de l'ancienne médina (Bhira), qui a contribué à l'éducation et à la formation de milliers de jeunes Casablancais. Des qualités humaines qui ont fait de lui une référence pour la diffusion des savoirs et le soutien à l'orientation professionnelle dans un pays démuni de centres d'information et d'orientation.

Un militant de l'ombre, épris de justice et défenseur des valeurs démocratiques. Durant les années de plomb, où nos parents étaient disparus ou emprisonnés, Si Bouazza était un de nos soutiens qui nous fournissait gratuitement en manuels et livres scolaires.

Allah y rahmou.

Avec toute notre gratitude à son fils si lahcen qui a repris le flambeau d'un patrimoine à qui nous sommes très reconnaissants



AGIR POUR CASABLANCA

Dans un «livre blanc» qu’il vient d’adresser aux décideurs et élus de Casablanca, le mouvement «Wlad Derb» pointe les principaux maux de la ville. Entre le transport, l’assainissement solide et liquide, la pollution et le dossier des personnes à besoins spécifiques, la ville croule sous les problèmes et les dysfonctionnements. Ce sont les conclusions de ce «livre blanc» réalisé avec la contribution des citoyens, rapporte le quotidien Assabah dans son édition du week-end des 21 et 22 septembre.


En évoquant la problématique de la gestion des déchets solides, le mouvement pointe la situation problématique de la décharge de Médiouna. Ce site qui constitue une véritable bombe écologique, mais aussi une source de nuisance, à cause des odeurs, pour les riverains et une bonne partie des habitants de la ville, interpelle aujourd’hui plus que jamais les décideurs.


Ce n’est malheureusement pas le seul dossier, dans ce registre, qui appelle l’attention des élus et décideurs de la ville. Casablanca est, en effet, la ville la plus polluée du Royaume, relève le quotidien citant ce document. Et cela non seulement à cause de son extension démographique, mais aussi pour son caractère industriel.


La pollution industrielle dans la ville est, note le quotidien, l’aspect de ce dossier qui préoccupe le plus les écologistes, mais aussi, d’une manière générale, les habitants. Pourtant, ce type de pollution n’est pas encore entièrement appréhendé de façon scientifique. Il n’existe toujours pas d’études sérieuses probantes, d’autant que le domaine souffre d’un vide juridique.


Sur le volet environnement, le document fait état également de fuites dans les réseaux d’assainissement en raison d’obstruction des canalisations. Des eaux qui s’infiltrent dans la nappe phréatique quand elles ne s’accumulent pas à ciel ouvert dans les rues ou quand elles ne sont pas rejetées en mer. Dans tous les cas, ces fuites entrainent des maladies de peau et d’autres infections et pourraient être à l’origine de graves maladies contagieuses comme le choléra.


Entre autres maux de Casablanca, la ville souffre de l’habitat anarchique. La pression démographique, la spéculation immobilière et l’absence de document d’urbanisme, estime le quotidien citant ce livre blanc, sont notamment des facteurs qui ont contribué à la prolifération de ce fléau. L’habitat anarchique contribue également, en raison de l’absence des réseaux d’assainissement, à la pollution de la ville et au risque de prolifération des maladies déjà citées.





Courbe de croissance

Cinéma Al Maghrib

Cinéma Al Maghrib, situé entre la foire internationale de Casablanca et l'entrée de Bousmara, nous a fait rêver

c’est d’abord le lieu de nos projections, là où nous visionnons le film d'une vie de rêve. Bien souvent, l’image du cinéma est celle de l'inconscient qui nous anime, celle que nous observons dans la dynamique des effets multiples, mais avec une recherche de moments de bonheur. Cinéma Al Maghrib est ainsi le lieu symbolique d’un processus d’introspection et d’observation , surtout si nous voyons bien la salle et ses fauteuils.

Le cinéma était pour nous, enfants,  le moyen de vivre par procuration des émotions, des expériences qui ne sont pas accessibles.

Nous demeurons ces témoins  d’un épisode, d'un film et d'une réalité supposée. La place choisie ou imposée par le placier, nous situe   en dehors du monde, sans réelle prise face aux événements qui s’y déroulent. Cela dénote parfois une incapacité à vivre le réel. Nous pouvons aussi être acteur du film, nous situer dans l’action du film. Il y aurait ici une prise de conscience du rôle que nous devons jouer et de la place que nous devons prendre.

Nous pouvons enfin assister à une série de choses merveilleuses au cinéma, à un spectacle grandiose, tout en ayant conscience qu’il ne s’agit là que d’un film. Cela traduit le doute que nous ressentons encore face à notre perception actuelle du monde, bien moins rationnelle que la vision cartésienne que nous en avions.

La fermeture du Cinéma Al Maghrib a mis fin à nos rêves d'enfance

Livre d’or

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